Pour ce deuxième volet, nous avons décidé de donner la parole à Sophie Cornet, Présidente d’IPC (Information Presse et Communication) et Directrice Générale Associée de C’est dit c’est écrit ainsi qu’à Stéphanie Courtois, Directrice Générale du Club des Annonceurs.
SOPHIE CORNET – Présidente d’IPC (Information Presse et Communication) et Directrice Générale Associée de C’est dit c’est écrit
Une stratégie d’influence bien menée contribue aujourd’hui de façon indéniable à la valeur de la marque. Des influences, bien choisies, et des influenceurs, bien identifiés permettent :
- d’augmenter la cote de sympathie
- de gagner en crédibilité
- d’engager et de favoriser le désir d’appropriation par l’exemple
- de donner des possibilités de débattre, de discuter en « toute transparence »
- d’inscrire la marque dans un univers fort et complémentaire.
STEPHANIE COURTOIS – Directrice Générale du Club des Annonceurs
Stratégie d’influence vs stratégie de média classique : les cinq W du Club des Annonceurs :
- WHO : Visibilité et capacité à émerger rapidement auprès des cibles réfractaires à la publicité.
Le plus : limitation des risques d’adblockers et de skip videos. - WHAT : Pouvoir de recommandation et de persuasion par endorsement d’un produit ou service.
Le plus : un brand ambassador plus authentique qu’une campagne d’activation. - WHERE : Intégration et interaction dans une communauté ciblée.
Le plus : permet à la marque de s’intégrer et de s’inviter de façon fluide dans les communautés. - WHEN : Des créations et diffusions en quasi live.
Le plus : force de réactivité, par exemple lors des lancements de produits ou pour des enjeux de e-reputation. - WHY : Rentabilité sur les critères d’engagement et de viralité.
Le plus : grande capillarité des campagnes influenceurs grâce à la puissance et pertinence des relais.
Nicolas Jaunet – Marketing Manager, L’Argus de la presse | Groupe CISION